Dans le cadre de la saison de musique ancienne l’église Sainte-Marie, à Mulhouse, propose un concert ce dimanche 7 avril à 17h, intitulé «Concerti d'Amore » , pour mandoline et flûte à bec d'Antonio VIVALDI avec : Oriane Weyl, Marc HERVIEUX, Chantal BAEUMLER et Eva VALTOVA. Un concert festif grâce à l'Ensemble Le Masque.
Boismortier, un peu comme Telemann reste un compositeur malheureusement peu connu, peut-être sous-estimé aujourd’hui et jalousé à son époque pour une trop grande production ou pour son indépendance financière…
L'ensemble le Masque, qui tire d' ailleurs son nom de ce divertissement de cour très en vogue en Angleterre à la fin du XVIIème," the Mask", présente des extraits de l' Opéra « the Fairy Queen » d' Henry Purcell, dont le livret est une adaptation du Songe d'une nuit d'été de William Shakespeare. Influencée par la polyphonie de la Renaissance anglaise et par les styles français et italiens, l’oeuvre de Purcell reste unique, singulière et attachante. Sublimé par la langue anglaise et par sa théâtralité, le style de " l'Orpheus britannicus " révèle une invention et une profondeur d’expression rarement égalée, comme le rappelle ce qui est écrit sur son épitaphe à l’Abbaye de Westminster. Désireuse de faire entendre ces petits bijoux typiquement anglais, la soprano Emma Gutierrez accompagnée par des flûtes et la basse-continue propose une version intimiste de l'œuvre. Nous pourrons entendre en autres "If love's a sweet passion" ou "O let me weep", les principaux airs féminins et des danses qui donnent une vitalité à la fois endiablée et rêveuse à l'ensemble de ce masque.
L'ensemble le Masque, qui tire d' ailleurs son nom de ce divertissement de cour très en vogue en Angleterre à la fin du XVIIème," the Mask", présente des extraits de l' Opéra « the Fairy Queen » d' Henry Purcell, dont le livret est une adaptation du Songe d'une nuit d'été de William Shakespeare. Influencée par la polyphonie de la Renaissance anglaise et par les styles français et italiens, l’oeuvre de Purcell reste unique, singulière et attachante. Sublimé par la langue anglaise et par sa théâtralité, le style de " l'Orpheus britannicus " révèle une invention et une profondeur d’expression rarement égalée, comme le rappelle ce qui est écrit sur son épitaphe à l’Abbaye de Westminster. Désireuse de faire entendre ces petits bijoux typiquement anglais, la soprano Emma Gutierrez accompagnée par des flûtes et la basse-continue propose une version intimiste de l'œuvre. Nous pourrons entendre en autres "If love's a sweet passion" ou "O let me weep", les principaux airs féminins et des danses qui donnent une vitalité à la fois endiablée et rêveuse à l'ensemble de ce masque.